L'agilité de la maintenance robotique est vitale pour la continuité opérationnelle des systèmes automatisés. Face à une pièce usagée, l'impression 3D (fabrication additive) fournit la solution agile nécessaire en permettant la production à la demande de composants spécifiques. Cette capacité de remplacement rapide sur site réduit considérablement les temps d'arrêt imprévus et la dépendance aux stocks, optimisant la maintenance pour une disponibilité maximale des robots.

L'extrait met en lumière la contribution essentielle de l'impression 3D à la demande à l'économie circulaire et à la réduction des déchets. En permettant de refaire une pièce cassée ou usée au lieu de jeter l'objet entier, cette technologie prolonge la durée de vie des produits. Elle remplace le modèle linéaire par une fabrication locale et sur mesure, minimisant les déchets de production et de transport, et fait du consommateur un acteur de la réparation et du réemploi.

L'extrait explique que l'impression 3D à la demande met fin à l'aliénation en permettant aux individus de retrouver la maîtrise de leurs objets. Grâce à l'imprimante 3D, l'utilisateur peut refaire une pièce cassée, court-circuitant l'obsolescence programmée et la dépendance aux fabricants. L'acte de réparation et de personnalisation confère un rôle actif à l'utilisateur, favorisant la réappropriation de l'objet.

L'extrait traite de l'affrontement légal causé par l'impression 3D à la demande utilisée pour refaire une pièce. Cette capacité de reproduction soulève d'importants enjeux de propriété intellectuelle, de contrefaçon et de brevets. La difficulté réside à distinguer la réparation personnelle légale de la production non autorisée, nécessitant un arbitrage entre le droit à la réparation et la protection des droits d'auteur des fabricants.

L'extrait projette que d'ici 2050, l'impression 3D à la demande sera vitale pour l'intégration cyborg et la maintenance augmentée. Elle permettra de refaire une pièce instantanément, incluant des composants pour prothèses bioniques et l'augmentation humaine, via une imprimante 3D avancée. Cette fabrication in situ offrira une réparation ultra-personnalisée, garantissant l'autonomie aux utilisateurs d'extensions technologiques.

L'extrait décrit comment l'impression 3D à la demande transforme le foyer en un Atelier Domestique en facilitant la réparation quotidienne. Pouvoir refaire une pièce avec une imprimante 3D permet de prolonger la vie des objets, de réduire le gaspillage, et de rendre le consommateur plus autonome ("prosommateur"). Ceci résulte en une gestion plus écologique et économique des biens et modifie la relation des habitants avec leur environnement matériel.